Vidéoprotection

 

Vidéoprotection

Vidéoprotection
Dissuader, détecter et identifier : la vidéoprotection est un moyen essentiel de prévention des atteintes à l'ordre public et de lutte contre les auteurs d'infraction. 

Quinze caméras réparties sur le territoire

Le dispositif comprend quinze caméras, installées sur la voie publique et réparties sur la totalité de la commune. Il a pour objectif de protéger les bâtiments et installations publiques, de constater les infractions aux règles de la circulation et de l’environnement (dépôts sauvages, déjections canines…) et de prévenir les atteintes à la sécurité des personnes et des biens.  Les emplacements des caméras ont été déterminés en lien avec le Commissariat de Saint-Germain-en-Laye. En raison des deux routes nationales qui la traversent, Le Port-Marly est en effet un lieu de passage important et le dispositif prévoit ainsi une implantation renforcée aux entrées et sorties de la ville. 

Une convention avec Croissy et Le Pecq

Pour optimiser les coûts, le Conseil Municipal a voté le 23 juin 2020 une convention d'entente avec la ville de Croissy-sur-Seine, pour acter la mutualisation du Centre de Supervision Urbain (CSU) auquel seront transmises les images filmées par les caméras marlyportaines. La convention a ensuite été élargie à la ville du Pecq, qui rejoindra le dispositif fin 2021.  

Le fonctionnement du CSU

À l’intérieur du CSU, les images sont visionnées en temps réel par des agents individuellement désignés et habilités. Un agent du Port-Marly va rejoindre l'équipe de Croissy-sur-Seine déjà en place. Il est à noter que les polices municipales de chaque ville continuent de fonctionner de manière indépendante. Ainsi, en cas de flagrant délit lors du visionnage, c’est celle de la commune concernée qui sera immédiatement prévenue. 

Coût de déploiement : 300 010€, subventionné par la Région à hauteur de 44 975€
Coût de fonctionnement réparti entre les trois villes, au prorata selon le nombre de caméras et la population 

Un système autorisé par arrêté préfectoral

Toute installation d’un système de vidéoprotection est conditionnée par l’obtention préalable d’une autorisation préfectorale, établie pour une durée de cinq ans renouvelable, après avis de la Commission départementale des systèmes de vidéosurveillance. Le Port-Marly a obtenu cette autorisation le 9 mars 2018. Elle garantit que le système répond bien aux finalités prévues par la loi : sécurité des personnes, prévention des atteintes aux biens, protection des bâtiments publics, prévention du trafic de stupéfiants, constatation des infractions aux règles de la circulation… Elle fixe également les modalités d'installation, d'exploitation et de traitement des caméras et de leurs images et veille à ce que le dispositif ne porte pas atteinte au respect de la vie privée.  

La vie privée préservée

Ainsi, les caméras ne peuvent filmer que les voies et lieux publics. Les zones privées (intérieurs ou entrées des immeubles et habitations, notamment) qui pourraient se situer dans le champ de vision des caméras sont automatiquement floutées, dès leur transmission au CSU. 

> Pour vous renseigner sur le dispositif et les garanties en matière de libertés publiques : policemunicipale@port-marly.fr

 

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